The year 2022 marked the end of a global health crisis that profoundly disrupted our lives and freedoms. Three years later, in 2025, this project remains a call for pause, reflection, and gratitude towards nature, which generously and freely provides us with the vital oxygen we breathe.

Through this work, I aimed to offer a collective breath, a meditative moment that invites us to reconsider the lessons learned from the years of lockdown and reflect on what these trials have taught us. The emergence of most probably zoonotic diseases, such as HIV or COVID-19, transmitted from animals to humans, must be considered in parallel with the increasing pressure on our planet and its natural resources.

The clearing of wild lands, the destruction of habitats, and the exploitation of ecosystems bring us dangerously closer to wildlife and the diseases they carry. The more interactions there are between humans, livestock, and wildlife, the greater the risk of new pandemics emerging.

This global crisis has revealed our vulnerability to global shocks. But it has also led to a fundamental realization: what really matters is health, clean air, and nature. Finding solutions to contain or cure viruses will require the best of our intelligence and creativity. But more importantly, it will allow us to live in harmony with our natural environment, to preserve the health of our planet and its inhabitants.

The series of 10 photographs is the result of my travels around the world, spanning over a decade. My goal was to capture the beauty and diversity of natural landscapes, understand the local environmental specifics, and testify to the profound interconnection between these ecosystems, forming one unique and universal nature, governed by the same natural laws.

The choice of birch wood for printing the photographs stems from a desire to reconnect with an authentic and healthy relationship with our natural environment. This wood is FSC certified, ensuring ecologically responsible, socially beneficial, and economically viable forest management. 3 years after exhibiting these photos in Brussels, a layer of paint was added on some of the prints to upcycle and reuse them.

L'année 2022 a marqué la fin d'une crise sanitaire mondiale qui a profondément perturbé nos vies et nos libertés. Trois ans plus tard, en 2025, ce projet demeure un appel à la pause, à la réflexion et à la gratitude envers la nature, qui nous offre généreusement et gratuitement l'oxygène vital que nous respirons.

À travers cette œuvre, j'ai cherché à offrir un souffle collectif, un moment méditatif qui nous invite à reconsidérer les leçons apprises pendant les années de confinement et à réfléchir à ce que ces épreuves nous ont enseigné. L'émergence, très probablement zoonotique, de maladies comme le VIH ou le COVID-19, transmises des animaux aux humains, doit être envisagée parallèlement à la pression croissante sur notre planète et ses ressources naturelles.

Le défrichement des terres sauvages, la destruction des habitats et l'exploitation des écosystèmes nous rapprochent dangereusement de la faune sauvage et des maladies qu'elle porte. Plus il y a d'interactions entre les humains, le bétail et la faune, plus le risque de nouvelles pandémies émerge.

Cette crise mondiale a révélé notre vulnérabilité face aux chocs globaux. Mais elle a aussi conduit à une prise de conscience fondamentale : ce qui compte vraiment, c'est la santé, l'air pur et la nature. Trouver des solutions pour contenir ou guérir les virus nécessitera le meilleur de notre intelligence et de notre créativité. Mais plus encore, cela nous permettra de vivre en harmonie avec notre environnement naturel, de préserver la santé de notre planète et de ses habitants.

La série de 10 photographies est le résultat de mes voyages à travers le monde, s'étendant sur plus d'une décennie. Mon objectif était de capturer la beauté et la diversité des paysages naturels, de comprendre les spécificités environnementales locales et de témoigner de l'interconnexion profonde entre ces écosystèmes, formant une nature unique et universelle, gouvernée par les mêmes lois naturelles.

Le choix du bois de bouleau pour l'impression des photographies découle du désir de renouer avec une relation authentique et saine avec notre environnement naturel. Ce bois est certifié FSC, garantissant une gestion forestière écologiquement responsable, socialement bénéfique et économiquement viable. Trois ans après l'exposition de ces photos à Bruxelles, une couche de peinture a été ajoutée sur certaines des impressions afin de les upcycler et de les réutiliser.